ARCH ECHO
Arch Echo
Prog/Jazz Fusion Instrumental - Etats-Unis
Arch Echo est un de ces fameux groupes qui appartient à la vague de Progressif / Instrumental qui a connu son heure de gloire dernièrement avec des artistes comme Plini, Sithu Aye, Widek, David Maxim Micic, ainsi qu’énormément d’artistes.
La majorité d’ailleurs sont des « one man bands » (un projet solo improvisé quoi) et ayant écouté chacun de leurs travaux solo, je suis tombé amoureux de ce genre là pendant un bon moment, j’en écoutais quasiment tout le temps, ce qui m’a permis d’appréhender beaucoup mieux le genre en question.
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Et six – sept mois après, je tombe sur cet album, l’éponyme de Arch Echo, en scrollant quelques vidéos YouTube des artistes cités plus haut (et en cherchant aussi l’album qui fera l’objet d’une prochaine critique), alors j’ai gardé ça quelque part pour moi pour le faire un mois plus tard probablement.
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Un jour après, j’ai écouté cet album, et j’ai littéralement été transporté à travers des cascades et des tourbillons d’émotions en tout genre, cet album, c’est simplement comme si on voulait vous faire faire un voyage dans une aventure épique, mais ici, pas de voix pour narrer, les instruments ont leurs propres voix
L’album sort donc 18 Mai 2017 après leur single « Earthshine » sorti au mois de Janvier 2017 et il aura comme type de promotions des clips, notamment pour leur single ou pour la chanson « Color Wheel » qui est un clip très sympathique mais je vous le déconseille si vous êtes épileptique.
Cet album, c’est, comme je l’ai dit plus tôt, un album de Metal Progressif Instrumental qui est déjà très bien foutu, la pochette est classique, logo qui est au milieu avec des couleurs cependant plutôt vives mais donnant une impression réconfortante et cela me donne envie d’écouter un album rien qu’à la pochette.
Le groupe se compose de cinq membres : Joey Izzo aux claviers, Adam Rafowitz et Adam Bentley aux guitares solistes et rythmiques, Joe Calderone à la basse et Richie Martinez à la batterie.
Ces membres du groupe (en plus d’avoir un bassiste qui a le nom de l’alter-ego de Lady Gaga et d’avoir un batteur qui a un homonyme champion de MMA) a déjà participé à quelques projets d’artistes cités plus hauts, notamment Adam Rafowitz
qui est en featuring sur la chanson éponyme de « Who Bit The Moon », dernier album de David Maxim Micic, ce qui pour moi en impose déjà pas mal !
L’album nous offre une liste de pistes simples, pas trop étendue non plus et qui sait nous convaincre immédiatement :
1. Earthshine
2. Afterburger
3. Hip Dipper
4. Color Wheel
5. Bloom
6. Spark
7. My Head Sometimes
8. My Heart Sometimes
Pour décrire l’album, c’est assez compliqué, comme je l’ai dit plus tôt, c’est une avalanche de sentiments qu’on se prend dans les oreilles, un véritable régal et en même temps, une beauté incomparable et infinie.
Réussir à définir et décrire cet album est quasiment impossible, mais franchement, sans exagérer, cet album vaut bien la petite cinquantaine de minutes qu’il propose, alors foncez l’écouter si jamais vous ne savez pas quoi écouter maintenant.
En quarante-sept minutes, les instrumentalistes nous pondent riffs et mélodies ultra majestueuses, ils savent alterner des passages mélodieux au possible avec des instants assez bourrins, ce que nous prouve d’ailleurs le mixage de cet album, admirablement bien effectué et qui sait tout bonnement y faire, l’album est pour moi par son contenu, un chef-d’œuvre intemporel qui viendra bientôt aiguiser ma collection d’albums et très probablement mon top trente d’albums favoris de tous les temps.
Par ailleurs, les morceaux sont très addictifs, la preuve en est, je l’écoute en boucle depuis un bon moment le morceau « Color Wheel » car tout simplement, il pourrait rendre n’importe qui heureux, et c’est à peu près ce dont j’ai besoin en ce moment.
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" C’est une découverte extrêmement intéressante qui nous fera attendre et frémir d’impatience pour une prochaine sortie ! "
Jason.
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