BLOODY ALCHEMY
Kingdom Of Hatred
Death / Thrash Metal - Chatres / IDF
Ce groupe de Death/Thrash venant de Paris débarque avec leur album Kingdom Of Hatred sortie en octobre 2017 composé de treize morceaux dont trois titres provenant de leur précédent EP Insanity Chaos.
Le groupe composé de Vic à la guitare/chant, Clem à l’autre guitare, Lucas à la basse et enfin Lou le batteur nous sert un Death/Thrash qui se dévoile durant ses quatre morceaux. Pour commencer avec Arch Of Hatred, l’introduction de l’album qui est pour moi pas au niveau de l’intro présente sur l’EP qui était magistrale et l’une des meilleures pour ne pas dire la meilleure intro que j’ai entendu depuis que j’ai commencé à être bercer dans le monde du Rock Metal et c’est bien dommage de ne pas avoir eu une intro digne de ce que Bloody Alchemy nous a déjà servi. Elle est bonne mais l’ancienne possède plein de point unique. Le groupe reste dans ses habitudes de préparer la venue du second morceaux qui sans connaitre le groupe peut avoir deux suite possible, soit une continuité sur le style et l’ambiance en restant dans le même élément qui est le moins risqué et le plus logique ou bien une autre solution, souvent utilisé dans le Metal mais qui reste toujours une belle surprise : c’est la technique du calme avant la tempête, chose que BLOODY ALCHEMY a su utilisé à son avantage une nouvelle fois et l’exploite vraiment dans les moindres éléments.
Pour le reste de la liste des morceaux sortant de cet album qui sont Control, Insanity Chaos et enfin The Blood Reign pour ce qui est des titres remis avec une mise à jour sonore de l’EP ainsi six nouvelles compositions, le groupe assure sur bien des points, le chant est magistralement bien foutu, les guitares/basse sont parfaitement utilisé, de vrais génies, il ne faut pas que j’oublie la batterie, omniprésente, une vraie claque musicalement comme j’en ai rarement pris.
Les premières notes de The Storm (le jeu de mot du calme avant la tempête n’a jamais eu autant de sens qu’ici. Storm = Tornade pour ceux qui l’ignore) posent les bails avec la guitare suivi des autres instruments et enfin suivi du chant qui sort des tripes, contractant totalement de l’introduction qui passait juste avant, les ry-
thmes sont plus qu’entrainant, ne laissant place au calme, même si à certains passages, une légère douceur se fait paraitre mais pour autant venir d’un monde de bisounours, le groupe a fait cela surement pour nous laisser le temps d’apprécier leur technique et leur talent sur le plan instrumental qui me font tirer mon chapeau, les transitions ne sont malheureusement pas fluide, préférant le silence qu’une suite direct mais cela reste très bien car les silences ne sont pas trop long, et c’est une très bonne chose.
Ce CD fait preuve de beaucoup de prestance, talent et expérience. A l’écoute, on pense que les musiciens sont des vieux de la vieille, avec une vingtaine d’année au compteur de scène et non à des petits jeunes qui ont fait littéralement un méga bon travail sur ce second opus composé donc de :
1. Arch Of Hatred
2. The Storm
3. A World In Agony (feat Julien TRUCHAN de BENIGHTED)
4. Insanity Chaos
5. Interlude (une seconde intro pour ce qui ignore ce que c’est)
6. The Blood Reign
7. The Fight
8. Control
9. Kingdom Of Hatred
10. End Of Hatred
Encore une fois, je tire mon chapeau mais j’aimerais aussi vous faire part d’un point négatif qui a été rectifier : la DUREE, nous n’avions eu que douze minutes pour nous faire une idée du groupe et je ne vous cache pas que cela était plutôt difficile même en boucle. La durée totale est passée à trente-deux minutes, soit vingt minutes de plus.
BLOODY ALCHEMY et leur album Kigndom Of Hatred nous sert un deuxième excellent CD qui mérite que l’on s’y attarde rapidement nos deux oreilles car cela vaut vraiment le détour ou plutôt dans ce cas-là l’écoute.
Je pense que ce groupe va vraiment vous surprendre et n’est qu’au début de son ascension, n’oubliez pas ce nom : BLOODY ALCHEMY.
N’oubliez pas que ces lignes ne sont que mon avis personnel et donc je vous invite à découvrir le groupe par vous-même.
Fab’