WAYS.
Aftermath
Rock/Metal Alternatif - Paris
Paris, Paris, voilà que tu m’offres un nouveau groupe à écouter et c’est avec plaisir que j’accepte cet enfant. J’ai pour ma part, découvert le groupe en amont avec l’aide de Guitoune de l’association Underground Zéro qui a penser que le groupe ainsi que leur clip I See No Beauty (présent sur ce CD en bonus) pourrait m’intéressé grandement et ce fut le cas, mais c’est avec cet EP, gros EP pour être exacte sous le format qui s’apparente davantage à un Maxi (6-7 titres) ou bien un petit album. C’est le choix de WAYS. de choisir qu’Aftermath soit un EP 8 titres. C’est rare mais cela m’aidera et vous aidera à nous plonger ensemble dans le travail que produire les parisiens.
Et cela commence par une introduction « Twilight Until Dawn » longue de 2 minutes et 1 seconde, elle est douce, pur, d’une beauté (je m’égare là, je parle de musique, pas d’une fleur). Les mélodies créer de la part du groupe s’enchaine pour un rendu à la fois magnifique mais reposant et serein.
Tout à fait, l’inverse du premier titre qu’est « Death Row », là, c’est un véritable autre visage, une face plus sombre à la limite de la schizophrénie. Durant la suite de l’introduction, les instruments sont tout comme le chant, allant de la mélodie à la brutalité sans forcément suivre le chant, qui peut être hargneux durant des parties calmes jouaient par les guitares. Le résultat ressemble en partie sur la structure que nous sert le groupe Maximum The Hormone en étant sous plusieurs différences dans un même titre de quoi perdre la tête (le Youtubeur Stormy en avait bien fait l’exemple dans sa vidéo sur ses japonais). Dans le cas de Ways. la différence est pas aussi importe, ici c’est une double personnalité à la Double Face (référence à l’univers de Batman réussi à placer dans une chronique : CHECK) et non une vingtaine comme dans le film Split avec James McAvoy, mais je m’égare une nouvelle fois, le groupe me retourne la tête que je vais finir comme le CD.
Durant l’intégralité des morceaux, le chant calme et hurlé car c’est plus torturer que du guttural comme j’ai l’habitude d’entendre en concert ou bien sur CD, cela reste très bien sur l’EP car cela contraste les deux chants et donc les facettes.
Pour les instruments c’est le même discours. Le résultat donne envie de se plonger dans l’esprit qu’est Ways. on se questionne des questions et quand on voit davantage le visuel que le groupe met en avant, les questions ne cessent pas, c’est le contraire, enfin pour certaines personnes car nous sommes tous différent les uns des autres et nous ne réagissons pas tous de la façon à des images, du son ou une situation.
Le groupe nous propose une pause au cours de l’écoute d’Aftermath avec Thirteen, une second intro, ou outro, ou interlude, cela demande comme vous prenez ce groupe de pause au sein d’un CD. Les mélodies et la douceur reviennent pour nous faire assimiler les morceaux précédents avant de relancer la machine, et cette fois, c’est 2 minutes 20. Je suis sûr que si nous montez un visuel psychédélique, le groupe peut nous permettre d’aller loin, très loin. Et si c’est dans les images d’un système nerveux et surtout cérébrale, nous pourrions nous introduire en plein cœur de leur conscience. Un voyage pour s’ouvrir au monde et retirer les œillères sur la réalité.
Durant ses 8 titres et ses un peu plus de 27 minutes, le groupe nous propose un voyage avec eux en cours de :
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Twilight Until Dawn
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Death Row
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However…
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And Nobody Cares
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So Far So Good
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Thirteen
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With Love
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I See No Beauty (Bonus)
Le dernier morceau, le 8ème est un bonus comme précisé plus haut, il vaut vraiment le coup comme le reste de tout le CD. J’ai vraiment hâte de les voir se produire sur la scène du Dropkick pour le MetalAnimals Night #3, le 24 Mars, petit coup de pub au passage.
Le résultat global de l’EP Aftermath des parisiens que sont Ways. mérite vraiment que l’on découvre le travail réalisé par leur soin et leur talent. Pour ma part, comme dit plus haut, j’ai vraiment envie de les voir sur scène et de limite fusionner nos consciences pour découvrir tous les messages que le groupe donne à travers leurs morceaux.
J’aimerais faire un aparté sur la pochette ainsi que le sens du visuel utilisé par le groupe. Déjà, la jaquette est sublime, entre le papillon (symbole de l’évolution) et l’encre de Rorschach (place à la fois un test psychologique et un personnage de l’univers de DC : CHECK), le mélange donne un excellent rendu, maintenant passons à l’autre partie du visuel, les vidéos ou les sens de parole, à l’instar d’After Life, le groupe montre la réalité sur ce qu’on refuse de voir, entendre et surtout comprendre : la CAUSE ANIMALE, je sais que les groupe qui me serve un CD qui en parle me touche davantage mais si le son est mauvais, j’en prends compte, ce n’est pas le cas, ici, bonne musique, bonne image et des textes avec un sens que j’affectionne. Pour cela merci, les gars.
N’oubliez pas que ces lignes ne sont que mon avis personnel et donc je vous invite à découvrir le groupe par vous-même.
Fab’